
Ce Working Paper prolonge et complète l'analyse des mesures anti-crise pré-2012 publiées dans un précédent Working Paper de l'ETUI intitulé «La crise et les réformes nationales du droit du travail : bilan" » qui traitait des mesures anti-crise pour le temps de travail prises avant février 2012.
Les auteurs de ce document, qui se servent d'une analyse pays par pays des réformes dans le domaine du temps de travail, confirment que la plupart des réformes adoptées par les Etats membres de l'Union européenne pendant la crise ont utilisé la crise comme - fausse - excuse pour légitimer l'introduction d'une législation défavorable aux travailleurs.